Ma période parisienne, c’était une obsession… beaucoup d’argentique, beaucoup de noir et blanc… dans des vieilles cours qui n’existent probablement plus pour la plupart… Je ne m’étais pourtant pas mis en tête de réaliser une sorte de témoignage sur ces cours parisiennes, pour moi elles reflétaient un exotisme particulier, je trouvais ça magnifique ! Elles sont maintenant nettoyées ou détruites. L’étranger, le visiteur de passage, voit toujours autre chose que celui qui y habite.

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